The Democrats lost three seats in the United States Senate to the Republican Party. Une aversion que l'union de la gauche et l'infléchissement des positions du PCF avaient atténuées mais que la rupture de l'union de la gauche en 1977 avait ravivée. An Act to make provision for and in connection with the election of representatives to the Assembly of the European Communities, and to prevent any treaty providing for any increase in the powers of the Assembly from being ratified by the United Kingdom unless approved by Act of Parliament. », Certains candidats CNIP ont été investis par l'UDF, bien que ce parti n'en soit pas une composante. Parmi les 122 candidates, 88,5 % se présentent pour la première fois dans leur circonscription ce qui laisse penser que le renouvellement observé précédemment a au moins en partie profité aux femmes. Au contraire, la gauche perd 6 départements dans lesquels elle avait la majorité au 1er tour. François Mitterrand déclare à ce propos : « On ne peut pas jouer les deux rôles à la fois, […] l'arbitre sur le terrain et le capitaine d'une équipe […]. Democrats retained control of both houses of Congress . Ce dilemme a nourri les préoccupations des dirigeants communistes et a fini par devenir un piège mortel. Serge Bernstein et Jean-François Sirinelli, Proceedings of the Western Society for French History. Je ne veux violer aucun droit d'auteur. Ces élections sont placées sous le signe d'une bipolarisation accrue de la vie politique. "Nous sommes le changement, nous sommes le mouvement"[14]. Lors de sa campagne officielle, le RPR choisit la solution du référendum en cas de cohabitation, solution gaulliste de l'appel au peuple : "Le président de la République agira selon la manière qui paraîtra le plus digne et il appliquera la constitution, et cette constitution lui donne tous les moyens de faire intervenir le peuple pour trancher un hypothétique conflit"[11]. Cette implication directe du président de la République conduit à de vives critiques de la part de l'opposition, estimant que le chef de l'État est au-dessus des partis, étant président de tous les Français, et qu'à ce titre, il ne peut se conduire en chef de parti, en chef de la majorité parlementaire. Ce mauvais report de voix est d'autant plus marqué dans les circonscriptions où un candidat communiste est présent au second tour. La majorité sortante l'emporte et progresse sensiblement, gagnant 1 436 850 voix tandis que la gauche connaît un léger effritement. The governing Labour Party lost 461 seats, leaving … This was the result of the 1978 referendum which also reduced the number of members from 60 to 43 and that provided that members would serve for 3 terms of the Legislative Assembly. En somme, les gaullistes entendent incarner la défense des institutions, des libertés et la loi (en matière de sécurité notamment). Désormais, Parti socialiste et Parti communiste poursuivent des trajectoires distinctes. « L'ensemble de ces observations paraît confirmer un des mécanismes qui associe la sympathie pour l’écologisme certains types de situations sociales : parce qu'il se présente comme une idéologie extérieure aux clivages sociaux fondamentaux, l'écologisme exerce une attraction sur ceux qui, faute de posséder certaines identifications, ne sont pas en mesure de se déterminer socialement. Dans les mois qui suivent, les tensions vont grandir entre RPR et UDF notamment autour de la question européenne. Il présente une centaine de candidats. United States Senate election in Illinois, 1978. Chacun chez soi[6]… », Le risque d'une victoire de la gauche conduit la droite à mener une campagne particulièrement active. Cela est surtout le signe de la multiplication des candidatures des petites formations politiques puisque l'on dénombre que 1812[17] candidats issus des partis des deux grandes coalitions, soit un peu moins de la moitié du total. Les étudiants, les célibataires sont proportionnellement plus nombreux que dans l'électorat de gauche ou de droite. An article from journal Études internationales (Volume 9, Number 4, 1978, pp. Dans le même temps, le PS prend soin de rassurer l'électorat, notamment sa frange la plus modérée. Dès lors, chacun se renvoie la responsabilité de la rupture. ». Cependant, l'échec de la gauche aboutit à une remise en cause de la stratégie d'union de la gauche promue par François Mitterrand depuis le congrès d'Epinay (1971). Les chiffres donnent certes une indication mais sont à relativiser car les réponses peuvent être influencées par les résultats du scrutin. L'action directe du président de la République se manifeste enfin par la constitution d'une nouvelle formation politique : l'Union pour la démocratie française (UDF). Les états-majors de la majorité expriment là leur volonté de changement, même s'il est vrai qu'un certain nombre de sortants ont préféré briguer un siège plus stable au Sénat lors du dernier renouvellement ou tout simplement opter pour une autre circonscription. » Les premières réunions ont lieu en avril 1977. Le 21e congrès extraordinaire du PCF, tenu en décembre 1974, a inauguré une critique du PS qui ne s’est pas démentie dans les années suivantes, avant de connaître un dénouement dans la crise de l’automne 1977. (2) There shall be paid out of money provided by Parliament— Élections législatives de 1978, Paris - 75, circonscription n°05 : profession de foi de NR Frédéric-Dupont au tour 1. Les travailleurs ont tout fait pour qu'il soit signé […]. Le parti de Jacques Chirac prend le risque d'apparaître comme autoritaire. Ce nouveau gouvernement Barre déçoit le RPR qui espérait traduire sa prédominance au sein de la majorité par un rééquilibrage de l'équipe gouvernementale en sa faveur. Mitterrand : « la victoire en votant » – JP Audou. La rupture du programme commun en septembre 1977 accélère la rivalité entre le PCF et le PS pour assurer la prédominance à gauche. Ces élections symbolisent ainsi le passage d'un vote de reconduction à un vote sanction. Témoignage de Pierre Mauroy extrait du Colloque « L’union sans l’unité. Les résultats du second tour offrent un écart assez mince entre la gauche et la droite (700 000 voix), mais le système électoral amplifie la victoire de la droite. D'après l'INSEE, le taux de chômage s'établit à 1,9 % en mars 1973. Si Monsieur Giscard d'Estaing entend - très bien, qu'il le fasse ! Les élections législatives de 1978 ont eu lieu les 12 et 19 mars 1978 (VIe législature). Ses bastions demeurent le Nord, la France méditerranéenne, et la bordure nord et ouest du Massif central. on December 30, 2020, There are no reviews yet. Bien que n'étant pas majoritaires, les partis de gauche progressent par rapport à 1973. Il estime les institutions menacées en cas de retour de ce qu'il considère être les vieux partis de la Quatrième République que seraient le parti socialiste et le parti communiste. Sociologie des candidats aux élections législatives de mars 1978. 840-858 Si l'on tente une comparaison avec la carte électorale communiste en 1956, on remarque que le recul affecte aussi bien l'étendue de ses bastions traditionnels et le niveau de suffrages obtenus dans les départements où il est le plus fort [à préciser]. La majorité sortante est suffisamment étoffée pour gouverner. Il n'y a que 122 femmes candidates pour les grandes formations. Mais il ne peut pas rester non plus indifférent au sort de la France. Pour sa part, le PCF se borne, dans un certain nombre de circonscriptions où ses chances sont irrémédiablement nulles, à pratiquer une politique destinée surtout gonfler le pourcentage national des suffrages qu'il recueille. Le Parti socialiste devient la première formation de gauche en France devant le PCF pour la première fois depuis 1945. Il n'est plus possible de laisser à notre administration le soin de développer une réglementation fantastique qui, tous les matins par cinquante pages, se déverse au profit ou pour le malheur de notre économie […]. » Georges Marchais parle lui-même de « bon accord. Les tensions culminent au congrès de Metz (1979). L'héritage démocratique reçu de 1789, les libertés publiques […] sera maintenu, agrandi, élargi. In: Revue française de science politique, 28ᵉ année, n°5, 1978. pp. Par ailleurs, il critique vivement le parti socialiste, qu'il accuse d'abandonner le Programme commun. Valéry Giscard d'Estaing donne la justification suivante : « J'agis en tant que chef de l'État et selon ma conscience, et ma conscience me dit ceci : le président de la République n'est pas un partisan, il n'est pas un chef de parti. Ainsi seuls 39,7 % des sondés disent avoir confiance en François Mitterrand, et 26,2 % en Georges Marchais[21]. - être le capitaine d'une équipe, le capitaine de l'équipe apparemment mal placée, peut-être battue, celle de la droite et des partis conservateurs, alors il ne peut pas réclamer devant les Français le statut de l'arbitre qui parle au nom de tous »[8]. François Mitterrand exprime ainsi la position de son parti : « nous sommes aussi la permanence […]. L'échec de la gauche aux élections législatives met un terme à l'aventure du Programme commun. », les sondés estiment que le gouvernement devrait prendre les décisions en matière de politique économique (64 %) et de politique sociale (68 %[note 6]). La gauche indique qu’elle ne souhaite pas demander la démission du président de la République en cas de victoire : elle s’inscrit dans la perspective d’une cohabitation avec Valéry Giscard d’Estaing. Cette déclaration illustre la volonté de décrispation de la vie politique dont Valéry Giscard d’Estaing a fait le cœur son action politique. La discipline de vote des électeurs de gauche a été bien moindre que celle des électeurs de droite. Ainsi, il se singularise y compris au sein du RPR puisque, par exemple, Michel Debré soutient l'avis contraire[10]. Ouvrons à propos une brève parenthèse au sujet du vote écologiste. 405 candidats se réclament de l'UDF, à l'exclusion de leur propre étiquette. En 1978, le PS apparaît plus comme un parti susceptible de recruter dans toutes les catégories de la société. Au terme de la campagne du 1er tour, le leader socialiste se félicite que son parti ait « su refuser la démagogie et la surenchère »[14] L'axe essentiel de la campagne du parti est de montrer qu'il incarne le changement face à la majorité parlementaire et une alternative crédible. Au lendemain de l'élection présidentielle de 1974, Valéry Giscard d'Estaing ne juge pas nécessaire de dissoudre l'assemblée nationale. La géographie électorale du parti de centre droit correspond nettement à la carte électorale de la droite depuis le début du siècle et que caractérisent trois zones principales de forces : la France de l'Ouest, la France de l'Est, le Massif central, avec des pointes vers les Alpes (Ain, Savoie, Hautes-Alpes) et la Méditerranée (Hérault). Dans son discours à Verdun-sur-le-Doubs, il s'applique à démontrer que « l'application en France d'un programme d'inspiration collectiviste plongerait la France dans le désordre économique. See what's new with book lending at the Internet Archive, Uploaded by Il en est ainsi de plusieurs départements du centre-est (Creuse, Charente, Tarn, Tarn-et-Garonne), de terres radicales-socialistes (Saône-et-Loire, Haute-Marne, Yonne, Seine-et-Marne, Oise, Loiret, Savoie) voire socialistes (Ardennes). Et cela d'autant moins qu'il doit faire face à l'opposition grandissante des gaullistes depuis la démission de Jacques Chirac du poste de premier ministre (1976). Ils doivent tout faire pour qu'il soit actualisé en tenant compte de l'aggravation de la crise ». United States Senate election in Massachusetts, 1978. Nous étions loin de faire reposer la majorité qui soutenait le gouvernement sur deux piliers à peu près égaux, et nous étions de plus les non nommés, les sans nom, les sans famille[5]. ]Fabre-Rosane Gilles, Guédé Alain. La victoire de la majorité sortante s'explique par le bon report des voix des candidats éliminés sur celui restant en lice, mais aussi par l'accroissement des suffrages exprimés qui lui a nettement profité. Les partis n'ont accordé aux femmes que la portion congrue. Attaqué sur sa gauche par le PCF, le PS a surtout cherché à rassurer son ancien partenaire, notamment par une série de concessions (notamment concernant la hausse du SMIC), éloignant de lui une partie de l'électorat qui l'avait rallié à l'occasion de l'élection présidentielle de 1974. Un franc succès de l'UDF face au RPR offrirait au gouvernement Barre une plus grande latitude pour gouverner. En revanche, les proportions sont moins importantes à droite (74 % pour le PR, 61,8 % pour les centristes, 69 % pour le RPR). Les autres restant sans opinion. Élections législatives de 1978, Lot-et-Garonne - 47, circonscription n°03 : profession de foi de Georges Lapeyronie au tour 2. Français : Résultats des élections législatives de 1978 en Ille-et-Vilaine. Ce regroupement est d'abord un cartel électoral, répondant ainsi à une gestion commune d'une échéance électorale spécifique engagée par trois formations politiques : le parti républicain, le centre des démocrates sociaux et le Parti radical. En effet, la victoire du Parti socialiste aux élections municipales et cantonales de mars 1977 a créé une ambiance délétère entre socialistes et communistes et a conduit à l’échec de la réactualisation du programme commun. 68 candidats sont élus députés à l'issue de ce premier tour de scrutin, chiffre à peu près équivalent à celui de, 1973 (60). En 1978, le choix des électeurs se résume à une alternative simple : la droite (alliance RPR-UDF) et la gauche (autour des trois anciens partenaires du programme commun). Ainsi, le bloc UDF-RPR dispose d'une majorité de 277 députés, alors que l'opposition PS-PCF ne compte que 199 élus. La moitié est présentée par le parti communiste. Si l'on s'attache cette fois à observer la part occupée par les enseignants, on remarque une sur-représentation au PCF (27,5 %) et surtout au PS (39,8 %) tandis que les professions libérales forment le principal bataillon des candidats du RPR (21,8 %), du PR (28,8 %), du CDS (27,2 %) et du MRG (29,3 %) et les cadres supérieures, le second vivier[19]. La technocratie, c'est comme cela qu'on peut l'appeler[12]. […] Un jour que je recevais au CDS, des amis viennent me dire : « Vous avez vu comment on nous appelle, les non RPR, les non-gaullistes, nous n'avons pas de nom ! Find the perfect Législatives stock photos and editorial news pictures from Getty Images. Après la victoire de la gauche unie aux élections cantonales de 1976 et municipales de 1977, et une forte progression de l'influence communiste à la faveur du Programme commun, la rupture avec le Parti socialiste en septembre rend responsable le Parti communiste de la division à gauche. Du côté de la majorité, le bloc UDF-RPR subit un recul assez important : si l'on se rapporte à l'ensemble formé par le Mouvement réformateur et la majorité sortante (UDR-RI-PDM), le bloc UDF-RPR passe de 50,69 % à 46,42 %.

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